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State Duma Speaker Vyacheslav Volodin said the issue concerns trade wars that the US is in both against Russia and China
Russian State Duma Speaker Vyacheslav Volodin
ST. PETERSBURG, June 7. The US is introducing sanctions against Russia not because of Crimea’s reunion with it but aiming to oust Russia from European markets, State Duma Speaker Vyacheslav Volodin said in an interview with TV program "60 Minutes" broadcast on Rossiya-1 on Friday.
"Sanctions would have been introduced in any way. As soon as Russia started developing, as soon as it became strong, it was inevitable," the speaker said, adding that Russia should overcome these challenges. He pointed to the fact that the stagnation of economy that was triggered several years ago "is in the past." "We will be able to go through this situation and we will be able to preserve the fulfilment of obligations to our citizens," he affirmed.
"The United States is not satisfied with the fact that we have a vast trade turnover with Europe that amounts to tens of billions of dollars. The US introduced these sanctions to oust us from Europe; moreover, it is trying to intimidate our European partners," Volodin said. "The reason is not that Crimea is now part of Russia. It was just a pretext, not a reason," he added.
The issue concerns trade wars that the US is in both against Russia and China, Volodin said.
The State Duma speaker affirmed that "[Russia] is in dialogue all the way around, both with the United States and Europe." "And, of course, we are in dialogue with the countries that found themselves in this situation with us," he said, naming China, Iran and Turkey among such states.
Antonio Guterres le 30 mai 2019
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a confié mardi à des diplomates qu'il avait sérieusement envisagé de vendre sa résidence de Manhattan, dans le centre de New York, pour aider l'organisation à surmonter sa grave crise budgétaire.
«La première chose que j'ai faite quand je suis arrivé est de demander si je pouvais vendre ma résidence», a déclaré M. Guterres, qui a pris ses fonctions en janvier 2017.
L'ONU faisait alors face à un trou de 1,5 milliard de dollars dans le budget de ses opérations de maintien de la paix, ainsi qu'à un autre de 492 millions dans son budget ordinaire dû aux impayés de la part des Etats membres. «Je ne plaisante pas, c'est une histoire vraie», a ajouté M. Guterres devant un comité budgétaire de l'ONU.
Vente impossible
La résidence officielle du secrétaire général de l'ONU est une maison de quatre étages avec jardin, avec vue sur l'East River, dans le quartier cossu de Sutton à Manhattan. Elle avait été offerte à l'organisation par un milliardaire en 1972, et sa valeur est estimée à plusieurs dizaines de millions de dollars.
Mais M. Guterres a expliqué qu'il avait rapidement découvert que les accords conclus entre l'ONU et les Etats-Unis, hôtes de l'organisation, ne lui donnaient pas la possibilité de céder ce bien de prestige.
Il a estimé que les finances de l'ONU se trouvaient dans un état «critique», et que l'organisation allait vers de sérieux problèmes de trésorerie vers la fin de l'année, même dans l'hypothèse optimiste où tous les Etats membres paieraient leurs contributions dans leur intégralité et dans les délais.